Des autres bâtiments
- L'Ermitage de Nuestra Señora de la Cinta
- Humilladero de la Cinta
- La Cathédrale
- L'Eglise de San Pedro
- L'Ermitage de Nuestra Señora de la Soledad
- L'Eglise de La Purísima Concepción
- Le couvent de Santa María de Gracia
- L'Eglise de La Milagrosa
- Le couvent de las Hermanas de la Cruz
- L'Eglise de San Sebastian
- Le monument à la Viere d'El Rocío
- L'Eglise de Sagrado Corazón de Jesús
- La maison de la confréirie d'El Rocio
- Hermandad de Emigrantes
Le développement urbain de la ville de Huelva comme on la connaît aujourd’hui commença dans le XIIIe siècle avec quelques limites définies : depuis les actuelles Avenue d’Italia et Avenue d’Alemania au Cimetière de San Sebastián et aux Arènes. Le cœur de cette ville était le château (aujourd’hui disparu) sur la colline connue comme « Cabezo de San Pedro ». Le deuxième développement urbain de Huelva qui peut être remarqué fut réalisé en 1870. Il fut un développement préindustriel ; la ville agrandit linéairement et en éventail au même temps en cherchant les terrains les plus bas comme les marais. Maintenant on doit remarquer la présence des Britanniques à Huelva et l’acquisition des mines pour une nouvelle transformation de la ville qui causa des nouveaux problèmes liés au développement urbain.
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La création d’une ligne de chemin de fer pour transporter des minéraux depuis les montagnes ; cela empêchait la ville d’agrandir en direction des marais.
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Un autre obstacle était l’orographie de la ville : les collines et les marais avec quelques propriétés privées empêchaient un développement durable.
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Un autre élément était le besoin d’avoir des terrains à bâtir car il y avait une grande demande des immigrants des provinces limitrophes et même de Huelva ; ils avaient besoin d’eux pour participer comme main-d’œuvre dans l’activité minière.
On ne peut pas réaliser le premier projet de développement urbain de Huelva, qui fut plané dans les années vingt par l’architecte José María Pérez Carasa, au contraire que des autres petits projets isolés pour le pavage des rues déjà existantes et la construction de nouvelles rues, comme l’Avenue Martín Alonso Pinzón, qui lie la Place del Punto et la Place de las Monjas. Ces œuvres publiques ne furent cependant que des activités isolées, loin d’être un projet complètement conjoint pour la ville. A cette époque on construisit les exemples les plus remarquables de l’architecture publique et domestique de Huelva. On décrira ceux les plus notables ci-dessous. En 1964 on créa le Polo de Promoción Industrial (une zone délimitée pour le développement industriel de Huelva) au même temps qu’on approuve le Plan General de Ordenación Urbana (« Plan général d’urbanisme »), le premier document local officiel lié au développement urbain, écrit par l’architecte Alejandro Herrero. À cette époque, Huelva avait une population de 73 000 habitants distribués entre quelques quartiers qui s’avaient agrandis et développés irrégulièrement, comme les nouveaux quartiers de La Orden, Príncipe Juan Carlos, Santa Marta, El Torrejón, La Hispanidad, El Polígono de San Sebastián, Verdeluz, El Carmen, Pérez Cubillas, Los Rosales et quelques autres avec moins d’importance. Au même temps qu’on construisit ces nouveaux quartiers, on fit des travaux dans les maisons de la vieille ville et celles-là aux environs du stadium. En 1975 on approuva la Nueva Ley del Suelo (« Nouvelle loi du sol ») et la Municipalité de Huelva décida de réviser le projet de développement urbain (qui ne fut approuvé définitivement jusqu’à 1980) après le flagrant inaccomplissement du projet de 1964. Une crise économique entre 1970 et 1985 paralyserait cependant cette nouvelle loi et l’actuelle ; on ne peut pas modifier aucune des deux.
Antigua Clínica Vázquez Limón (« L’ancienne Clinique Vázquez Limón »)
Construite au début du XXe siècle dans le style éclectique, on peut la trouver dans la rue La Fuente.
La maison Antonio Checa
Construit en 1904 par l’architecte Francisco Monís Morales, ce bâtiment néoclassique est situé dans la rue Puerto. Aujourd’hui le bâtiment est le siège de l’Unión General de Trabajadores (UGT) de Huelva.
Casa del Millón (« Maison du million »)
Ce bâtiment éclectique fut désigné et construit en 1916 dans la rue Puerto par les architectes Gonzalo Aguado et José María Pérez Carasa.
Antiguo Comercial (« Ancienne maison commerciale »)
José María Pérez Carasa construisit ce bâtiment néo-mudéjar entre 1921 et 1922. Il était un point de rencontre pour l’élite industrielle et économique de la ville. On peut le trouver dans la rue Jesús Nazareno.
Antigua Clínica Sanz de Frutos (« L’ancienne Clinique Sanz de Frutos)
L’architecte Francisco Hernández-Rubio construisit cette ancienne clinique en 1910 dans le style Art-Déco. Le bâtiment se trouve dans la rue Rico et fut le Conservatoire de musique de la ville dans le passé.
Colegio Oficial de Aparejadores y Arquitectos Técnicos de Huelva (« Corporation officielle des métreurs et architectes techniques de Huelva »)
Construit par Francisco Monís Morales dans le style Art-Déco, le bâtiment a des grilles forgées par Thomas Morrison. Il se trouve dans la rue Vázquez López et fut restauré en 2007.
Casa de las Conchas (« Maison des coquilles »)
José María Pérez Carasa construisit cette maison de la Néo-Renaissance au début du XXe siècle. Elle fut utilisée comme une clinique dans le passé.
Le palace du Duc et de la Duchesse de Medina Sidonia
Ce palace néoclassique du XVIIIe siècle occupait tout le pâté de maisons de la rue Palacio dans le passé. Ses écuries étaient orientées à la Place de las Monjas.
Antiguo Hotel París (« L’ancien Hôtel Paris »)
Francisco Monís Morales construisit cet ancien hôtel en 1907 dans le style Art-Déco. Le bâtiment a des grilles forgées par Thomas Morrison. Aujourd’hui il est connu comme la « Casa de la Bola » (« Maison de la boule ») car il a une tour avec un dôme.